Ted (de 2030) : Les enfants, quand votre meilleur ami perd un proche…
Marshall : Mon père est mort ?
Ted (de 2030) : Vous laissez tout tomber et vous foncez le réconforter. Vous vous retrouvez debout sans la moindre idée de ce qu’il faut dire.
Ted, Lily, Barney et Robin sont à l’enterrement du père de Marshall.
Ted : C’est le plus dur moment de la vie de Marshall et je me sentais complètement inutile. Qu’est-ce qu’on peut faire pour vous aider ?
Lily : Ne me regarde pas. Ce matin Marshall a dit : « Je dois aller pisser. » Et j’ai dit : « T’en fais pas bébé, je vais le faire pour toi. » A mi-chemin au toilette, je me suis dit… « C’est insensé ! »
Robin : Et bien, je suis allée à quelques enterrements, je suis une fille vicieuse. Qu’importe ce que Marshall a besoin pour passer ce jour, j’ai tout ce qu’il faut ici.
Ted : Cigarettes, alcool… Est-ce que c’est des pétards ? Bon sang Robin, t’en as en quelque sorte emporté Tijuana dans un sac.
Robin : Cool les intellos !
Lily : La mère de Marshall ne s’est pas assise, n’a pas dormi ou mangé… depuis qu’on est là. Attendez ! C’est peut-être mon rôle ! Je m’occupe de Judy !
Robin : Mais la mère de Marshall te déteste… parce que toutes les deux vous n’êtes pas très proches, non ?
Ted : Joliment dit.
Lily : D’accord, Judy et moi ne sommes pas meilleures amies mais aujourd’hui, qu’importe ce dont elle a besoin, je suis là. Je suis au service de Judy.
Ted : « Au service de Judy ».
Barney : Elle a dit « boutonneux ».
Robin : Vraiment ? A un enterrement ?
Ted : Aucun de nous possède ton… sens élevé de la bienséance. , dealeuse-de-drogue-spécial-sortir-de-cours-des-années-80. On doit se marrer aujourd’hui… c’est sain.
Barney : Attendez un instant ! Aujourd’hui, nous allons faire rigoler Marshall.
Robin : Comment ?
Barney : C’est quoi la seule chose qui… le plie toujours en quatre ?
Ted : Une vidéo sur internet d’un type qui se fait frapper les noix.
Barney : Une vidéo sur internet d’un type qui se fait frapper dans les boules. Exactement ! Donc on va trouver pour notre pote, une vidéo quatre étoiles. Tu cherches : genoux, pieds, rampes, bouches d’incendies et plongeoirs. Moi je couvre battes, raquettes, bâtons de hockeys, clubs de golf et cravaches.
Ted : Et les animaux ?
Barney : Griffes, pattes, ongles, sabots, becs et poings crispés de singe. On peut le faire !
Marshall : Hey, excusez-moi, j’ai laissé mon chargeur… à New York, ma batterie est à plat. Est-ce que quelqu’un aurait…
Robin : Courant ou USB ?
Marshall : Courant. Merci. (Robin sort un chargeur de son sac) Oh…
Lily : Tu as vraiment tout là-dedans ?
Ted : T’es comme Mary Poppins, si son sac magique était… également remplis de drogue.
Robin : « Si » ? Ted, les enfants dans ce film sautent dans un tableau et passent 15 minutes à chasser un renard de dessin animé. « Cuillère pleine de sucre ? » Grandit.
Homme : Je suis navré de votre perte, Judy.
Judy : Merci, révérend.
Révérend : Malheureusement, je ne peux pas. Ma fille à Chicago est en train d’accoucher. Mais je vous laisse en de bonnes mains, le second aux commandes, mon fils.
Marshall : Votre fils ?
Révérend : Tu te souviens de Trey. Je vais aller le chercher.
Marshall : Les gars… Trey Platt m’a terrorisé pendant mon enfance. Il était… Il était la brute la plus forte à l’école.
Trey : Ca va Marshall.
Marshall : Salut, Trey. Ca fait longtemps. Je ne savais pas que tu étais devenu révérend.
Trey : Ouais, et bien, l’argent de ton déjeuner a finalement été dilapidé. Je blague !
Barney : Marshall Eriksen, tu pourrais utiliser un éclat de rire.
Ted : Yeah ! Cette vidéo est intitulée, « Coach de petite ligue de fait frapper les noix par une ignoble balle et ensuite vomis dans une boite à ordures. » Je t’en dis pas plus, regarde juste.
Barney et Ted : Oh !
Barney : Tu vois ? Parce que… parce qu’il se fait frapper…
Ted : Direct dans les noix. Le petit gros s’est juste enfuit.
Marshall : Je ne peux pas croire que le service funèbre de mon père est dirigé par Trey « La machine à pichnettes » Platt.
Ted : Ce met te mettait des pichnettes ? Est-ce qu’il a pris un escabeau ?
Marshall : Il me le faisait le porter.
Trey : Mon père a fait ces questions, il m’a demandé d’aider à créer un thème pour le service, qu’importe. Quels étaient vos derniers mots avec le défunt ? Faible.
Judy : Attends… Mes derniers mots avec Marvin étaient charmants. J’y ai beaucoup pensé.
Frère de Marshall : Moi aussi. Nous sommes allés nous promener dans la neige, et avons eu cette incroyable discussion.
Frère de Marshall 2 : Mon dernier jour avec mon père, il a apprit à mon fils comment faire du skate.
Trey : Et bien, cela ne mène clairement à rien. Merci, papa. Je vais devoir passer le temps avec des blagues, encore.
Judy : « Les derniers mots » à l’air d’être un bon thème. Marshall, tu te souviens de la dernière chose que t’ai dite ton père ?
Flash-back
Judy : Au revoir, mon cœur.
Marshall : Au revoir, maman.
Père : Fils, il y a quelque chose que je veux dire avant de partir.
Marshall : Papa ?
Père : Je peux te piquer ce succulent morceau de porc pour le vol ?
Marshall : J’allais faire un sandwich avec papa. Papa, ils n’ont pas de bouffe dans l’avion ?
Père : La bouffe dans les avions c’est à chier.
Fin flash-back
Marshall : « La bouffe dans les avions c’est chier ». Ce sont les derniers mots que mon père m’aurait dit. Juste après que je lui ai refusé mon morceau de porc. Bon sang. Attends ! Je me trompe ! Je me trompe, c’était pas ça ! Ils ne trouvaient pas de taxi. Mon père m’a appelé depuis la rue !
Flash-back
Père : Marshall ! On dirait qu’il va pleuvoir ! J’ai pas pu trouver de parapluie dans ton placard ! Tu sais qui pourrait en avoir un ?
Marshall : Et ensuite, et bien, vous voyez, mon père a grandit dans une petite ville, une autre génération. Donc parfois, pas méchamment, il disait des trucs comme…
Père : Les Coréens dans ton couloir ! Les Coréens sont un peuple digne de confiance et généreux !
Marshall : Papa…
Père : Je te parie qu’un de ces coréens a un parapluie ! Pourquoi pas, ils sont coréens !
Fin flash-back
Marshall : Les derniers mots de mon père étaient une série… de vieux stéréotypes raciaux.
Robin : tout ça c’était vraiment gentil !
Lily : Ouais ! C’est du racisme positif !
Marshall : C’est pire que le morceau de porc.
Barney : Ce prochain clip est intitulé « Le type qui joue de la cornemuse se fait frapper dans les noix par des mouettes volant à basse altitude. »
Ted : Voyons ce que ça donne.
Barney : Ca arrive… Parce qu’il s’est fait frapper droit dans les noix.
Ted : Et ensuite le petit gros perd son maillot de bain.
Barney : Tombé, son maillot est tombé d’un coup.
Marshall : Non, attends, je me trompe. Ce n’était pas ça. Il ne pouvait pas trouvé de taxi, donc je suis descendu.
Flash-back
Marshall : Tu avais raison. Les Kangs ont, en fait, un parapluie.
Père : Bien sûr qu’ils en ont.
Judy : Au revoir, mon cœur.
Marshall : Au revoir, maman.
Père : Fiston, je voulais juste te donner un petit conseil. Loues Crocodile Dundee III. Je l’ai vu sur le câble la nuit dernière. Ca tient tout à fait la route.
Fin flash-back
Marshall : Crocodile Dundee III est le deuxième meilleur film de la Croc-trilogie donc peut-être que je peux vivre avec ça. Oh, désolé, mon téléphone est chargé.
Homme : J’ai entendu que vous étiez une femme qui pouvait obtenir des choses.
Robin : Je suis connue pour ma capacité à trouver certains objets de temps en temps.
Homme : J’ai besoin de vodka et de carte à jouer cochonnes.
Robin : Je m’occupe de vous.
Marshall : Bon sang.
Lily : Qu’est-ce que c’est ?
Marshall : J’ai un message vocal de mon père.
Lily : Tu as un message vocal de ton père ?
Robin : Comment ?
Marshall : Mon téléphone était à court de batterie, alors il a du m’appeler le jour où il…
Lily : Bébé, ça va ?
Marshall : Je tiens dans ma main les derniers mots que mon père me dira jamais. Je vais appuyer sur play.
Robin : Qu’est-ce qui ne va pas ?
Marshall : Et si c’était pire que Crocodile Dundee III ? Je ne peux pas faire ça. Je peux pas… Ma mère est sur le point de s’effondrer. Je vais…
Lily : Attends, bébé. Je m’en occupe. Laisse-moi.
Lily embrasse Marshall et s’éloigne.
Robin : Tu devrais l’écouter. Ne te mets pas trop de pression.
Ted : Elle a raison. Je veux dire, cette idée que les derniers mots de quelqu’un doivent être profonds et sensés ? Je veux dire, qui peut vivre jusqu’à ça ?
Barney : Exactement. Tous ces « fameux derniers mots » que ces gens ont dit ? Ils sont tous inventés, comme le type patriotique, Nathan Hale, Soldat de l’armée continentale pendant la révolution américaine en troisième année d’histoire ?
Flash-back
Nathan Hale : Mon seul regret n’est d’avoir qu’une seule vie à perdre pour mon pays.
Fin flash-back
Barney : Tu sais c’était quoi ses derniers mots ?
Flash-back
Nathan Hale : Je pisse dans mon pantalon !
Fin flash-back
Barney : Histoire vraie.
Robin : Pour dire, les derniers mots sont dépassés.
Ted : Regardes, penses ainsi : Tu dois entendre la voix de ton père une dernière fois.
Marshall : Je devrais aller écouter ça… Seul, je reviens.
Marshall se met à l’écart.
Femme : J’ai entendu que tu pourrais avoir…
Robin : T’as bien entendu. Je me fais une réputation. Alors de quoi t’as besoin mama ? Viens par là.
Robin s’éloigne avec la femme.
Lily, qui revient : Ecoutez ce qui viens de se passer.
Flash-back
Lily : Judy, tu as besoin d’une pause ? Je serais heureuse de cuisiner un peu.
Judy : Tu penses que ta cuisine New-Yorkaise de snob est meilleure que la mienne ! Admets-le ! Vas-y Lily, pourquoi ne pas préparer un lot de tes sushis tofu petit pain fantaisie ! Et t’étouffer avec !
Fin flash-back
Ted : Ca va ?
Lily : Ecoutes !
Flash-back
Judy : Je vais aller faire une sieste.
Fin flash-back
Lily : Judy dors enfin et c’est grâce à moi ! Je suis la pute de Judy ! Ouais !
Ted : Mais cette journée est difficile pour toi aussi. T’es sûre que tu peux encaisser tout ça ?
Lily : Robin m’a donné une petite pilule orange. Je sais pas ce qu’il y a dedans, mais les choses ont l’air d’être assez flottantes maintenant.
Robin : Restes hydraté.
Marshall revient.
Barney : Donc ?
Marshall : Je n’ai pas pu écouter. Les mecs, c’est dur.
Lily : On sait, bébé. Mais tu te demanderas toujours si tu ne le fais pas. Ton père t’aimait. Ca n’a presque pas d’importance ce qu’il a dit.
Barney : Ca n’en a pas, c’est vrai.
Marshall : Les gars, et si… seigneur pardonnes-moi… tout vos pères mourraient maintenant ? Quels seraient leurs derniers mots ? Sérieusement ?
Ted : Je sais pour moi. Quand j’étais à Cleveland, le mois dernier, je suis allé visiter mon père à sa… garçonnière d’après divorce.
Flash-back
Père : C’était marrant de traîner avec toi ce soir, T-Dawg.
Ted : Je suis si heureux que nous pouvions parler de notre vie sexuelle maintenant. C’est tout à fait une amélioration.
Père : J’ai couché avec une jeune femme la semaine dernière Donna Bromstead.
Ted : Mon rencard de promo ?!
Père : Jusqu’où t’es allé, T-Dawg ?
Ted : Je dois partir.
Fin flash-back
Marshall : Est-ce que t’aimerais que ce soit les derniers mots de ton père ?
Ted : Ca pourrait l’être. Le mari de Donna Bromstead est un flic.
Marshall : Avocassé. Lily ?
Flash-back
Lily décroche le téléphone.
Lily : Salut.
Voix : Lily, c’est papa. Ecoutes, je suis en quelque sorte en prison pour ne pas avoir payé d’impôts ces 25 dernières années. Mais du bon côté, j’ai inventé un super jeu de plateau. « Evasion fiscale » de 6 à 10 ans. Ce qui est ironiquement, ce que je pourrai prendre. Laisses tomber, ma citrouille, j’ai besoin de 15 000 dollars.
Lily : Je vous ai eu. Laissez un message après le bip. Nous vous rappellerons.
Fin flash-back
Marshall : Avocassé. Robin ?
Flash-back
Père : Et si, malgré la déception sans fin que tu m’as causé, je prie pour que finalement ce soit l’année où tu réussisses quelque chose de signification réelle. J’adorerai arrêter de mentir à mes amis à propos de toi qui est dans le coma. Quoi qu’il en soit, joyeux anniversaire, RJ.
Fin flash-back
Robin : C’est affreux. Non, voilà la partie affreuse.
Flash-back
Robin : Tu t’es souvenu de mon anniversaire !
Fin flash-back
Marshall : Avocassé. Maintenant, pouvons-nous tout simplement admettre ces derniers mots sont, en fait, important.
Tous : Oui.
Barney : J’ai toujours pensé que c’était dur de ne pas connaître mon père, mais… maintenant, je réalise qu’au moins je n’aurai jamais à souffrir comme ça. Notre prochaine vidéo s’appelle « Berger allemand active un canon de balle de tennis pendant qu’un gros gamin sirote une boisson énergétique ».
Marshall : Barney, s’il te plait c’est… Plus de vidéos, Ok ? J’ai juste besoin d’une minute.
Marshall s’isole.
Judy : Ok, qui est responsable ? Qui a bourré Cousine Daphné ? Elle a 15 ans.
Robin : Ils grandissent vite par ici.
Barney : Je vous rends votre numéro de téléphone.
Robin : Judy, je…
Lily : Je l’ai fait.
Judy : Quelle excuse as-tu pour ça ?
Lily : Je viens de New-York. On trouve que bourrer les mineurs c’est amusant.
Judy : Il n’y a rien de marrant à bourrer les mineurs. Tu devrais avoir honte, Lily ! Honte ! (Elle mange dans un plat) Sapristi, c’est savoureux.
Lily : Cette salade est le premier plat qu’elle ai mangé en deux jours. Bien sûr, c’est essentiellement du fromage, mayonnaise et gelée d’haricot, mais ça compte.
Ted : Au moins quelqu’un aide. On n’a pas fait rigoler Marshall une seule fois.
Barney : Lui montrer des vidéos de types se faisant frapper les noix n’a pas changé grand chose. Je suis juste stupide.
Ted : Stupide.
Barney : Ce qu’on doit faire, c’est se frapper l’un l’autre les noix.
Ted : Oui. Rien ne vaut l’immédiateté du théâtre en direct. Mais lequel d’entre nous va se prendre ce coup ? (Barney donne un coup de genou dans les parties intimes de Ted) Alors c’est tout ? Pas de discussion ?
Marshall : Je ne vais pas écouter. « Loue Crocodile Dundee III » sont les derniers mots que mon père m’ai jamais dit et je pense que je peux vivre avec ça.
Ted : Est-il en train de rire ?
Ted (de 2030) : Marshall pensait vraiment qu’il pouvait vivre avec ça. Jusqu’à la cérémonie commémorative.
Judy : Ma dernière discussion avec Marvin était si belle.
Ted (de 2030) : Les histoires racontées de sa mère et ses frères étaient parfaites.
Frère : Puis il a retiré mon fils pleurant de la glace. Il m’a fait un câlin et dit, « Champ, ça n’a pas d’importance si tu tombes une fois de temps en temps ».
Frère 2 : Et comme nous nous promenions, un petit cerf est apparu sur le chemin. Elle sauta jusqu’à papa et commença à manger… au milieu de sa main.
Judy : Et il m’embrassa et me dit…
Frère : « Je serais toujours fier de toi. »
Frère 2 : « La vie est un cadeau. »
Judy : « Tu sais, ma belle… je suis l’homme le plus chanceux. »
Barney : Faible.
Ted : Ces histoires sont nulles.
Robin : Ces histoires sont nulles. Ca fait pas le poids face à ton truc de Crocodile Dundee.
Lily : T’es le suivant, bébé.
Marshall : J’ai besoin d’air.
Marshall sort suivis par Lily, Barney, Ted et Robin.
Lily : Bébé, ça va ?
Marshall : Je dois l’écouter. C’est un appel de poche. C’est rien.
Lily : Donc c’est un appel de poche. Tu as temps de beaux souvenirs avec ton père. Qui s’inquiète du dernier ?
Tous : Elle a raison. Ton père était hilarant.
Marshall : Vous ne comprenez pas ? Aucun de vous. Mon père était mon héros. Et c’était mon professeur. Et mon meilleur ami. Il passait toujours au travers pour moi. Et maintenant il est parti. Et il me laisse avec quoi ? Merci beaucoup Mon Dieu ! Merci ! Tu as pris mon père, le meilleur homme que j’ai jamais connu, et tu l’a arraché de cette Terre, bien trop jeune ! Et il ne pourra jamais rencontrer nos enfants, Lily. Mais on a ce message vocal. Merci beaucoup pour le message vocal ! C’est un grand réconfort ! Parce que quand je commence… à me sentir seul, ou même… peut-être un peu arnaqué… au moins j’ai le son de sa poche pour me consoler. C’est injuste. Une vie humaine entière… qui se termine sans raison, et… qu’est-ce qu’il nous reste ?
Voix : On dirait que je t’appel depuis presque 5 minutes. A quoi ressemble le son de ma poche ? Désolé pour ça copain. Bref, ta mère et moi avons passé un si bon moment en ta compagnie. Je t’aime.
Lily : On dirait que ton père est venu grâce à une dernière fois.
Marshall : « Je t’aime. » Les derniers mots de mon père pour moi était « Je t’aime ».
Voix : Ooh, et laissez-moi savoir si vous trouvez ma crème pour les pieds. Cette chose champignon agit de nouveau.
Marshall : « Je t’aime. » Les derniers mots de mon père pour moi était « Je t’aime ».
Tous : Oui, oui, ils ont été. On l’a entendu. Fort et clair.
Marshall : Salut papa.
Ted (de 2030) : Alors Marshall s’est finalement levé pour parler. Le plus drôle, si…
Marshall : Puis mon père m’a dit les derniers mots qu’il ne m’ait jamais dit : « Loue Crocodile Dundee III. Je l’ai attrapé sur le câble la nuit dernière et il tient tout à fait en place. »
Ted (de 2030) : Il a décidé de garder Marvin réel derniers mots juste pour lui.
Judy : Merci.
Lily : Pour quoi ?
Judy : Je sais ce que vous avez fait aujourd’hui. Et j’en avais vraiment besoin.
Lily : Tous le temps.
Judy : Cette robe fait de vous une putain de Kansas City. Désolée, ma cher. Une petite dernière.
Marshall, Lily, Ted, Barney et Robin sont chez Judy.
Marshall : Oh, man. J’ai dû louer Crocodile Dundee III.
Ted : Bon, sérieusement, comment fais-tu ça ?
Marshall : Merci. Je reviens tout de suite. Et si je ne reviens pas, eh bien, ce sont mes derniers mots à vous tous. Je vous aime vraiment, vraiment, vraiment les mecs. Maintenant, je vais déposer un diable.
Ted (de 2030) : Les derniers mots c’est beaucoup de pression, les enfants.
Ted téléphone.
Ted : Salut, papa.
Lily téléphone également.
Lily : Salut, papa.
Robin appelle son père.
Robin : Salut, papa.
Barney téléphone à sa mère.
Barney : Salut, maman. Je suis prêt à rencontrer mon père.
FIN