Ted (de 2030) : Il y a des moyens de se déstresser.
Femme : Ce sera à vous dans quelques minutes, Mr Stinson.
Ted (de 2030) : Beaucoup se rongent les ongles. D’autres tapent du pied. Et d’autres s’imaginent être interviewés par le célèbre commentateur sportif, Jim Nantz.
Jim : Salut les amis, tout sport a eu son icône, qui y excelle. La boxe a eu Ali, le basket a eu Jordan, et le sport consistant à coucher avec des bombes prisent au hasard, à mon prochain invité, Mr Barney Stinson. Barney, bienvenue.
Barney : Merci, Jim. Je suis content d’être de retour dans l’émission.
Jim : C’est bon de vous avoir. Et vous savez, les statistiques, elles parlent vraiment d’elles-mêmes. Plus de 200 femmes, réparties sur 6 continents, 17 nationalités, 74 positions sexuelles, et pas un seul boudin. Impressionnant. Mais, même avec tous ces succès, il y en a toujours eu un qui vous échappait. Ce qui nous ramène à la semaine dernière. Racontez-nous notre histoire.
Barney : Accrochez-vous, Jimbo, celle-ci est extraordinaire.
Première nuit… Barney, Ted, Lily et Marshall sont au McLaren’s.
Barney : Tout a commencé quand j’ai décidé de me lancer un petit défi.
Marshall : Oh mon Dieu. Wow.
Ted : Il décide de sa victime.
Barney : Quelque soit la fille que je suis en train de pointer, c’est avec elle que je rentre ce soir. Et… C’est parti !
Barney se lève et va voir une fille au comptoir.
Marshall : Salut !
Robin : Salut !
Lily : Comment ça s’est passé avec Dale ?
Robin : Tu sais, parfois, ce gars avec des grosses lunettes, et un t-shirt des Schtroumpfs, c’est juste un cliché. Et parfois, c’est un crétin avec un strabisme et une relation platonique avec Gargamel.
Lily : Robin, c’est pas parce qu’un gars parle beaucoup d’un personnage fictif pendant votre premier rencard qu’il peut pas être ton futur.
Marshall : Le Yéti est pas fictif.
Ted, en voyant Barney partir : C’était rapide.
Jim : Donc, la première nuit était plutôt habituelle.
Barney : Jim, il n’y a rien d’habituel dans ma façon d’emballer.
Jim : Respect. Ce qui nous mène à la 2ème nuit.
Deuxième nuit…
Barney : Ce qui nous mène à la 2ème nuit. Vous voyez la bombe qui dorlote son Black Russian (Vodka et liqueur de café)? Elle est partie pour l’échanger avec un Américain Blanc. Tapez m’en cinq ! Vous savez… Si vous ne faites pas attention, vous allez me perdre.
Robin : Les gars, quand Dale appellera pour un deuxième rencard, qu’est-ce que je vais lui dire ?
Marshall : Comment tu sais qu’il va appeler ?
Robin : Comme c’est mignon, Marshall. Mais je pense que maman sait quand elle a fait un carton. Je veux dire, il pouvait pas s’empêcher de me regarder.
Ted : Et ben, ne le bouscule pas trop. Les gens peuvent être fragiles. Et des fois, sans même le vouloir, tu peux arracher le cœur de quelqu’un, et l’écraser devant une salle pleine de 26 personnes et de l’assistant d’un prof.
Lily : Comment ça s’est passé aujourd’hui à l’école, Ted ?
Ted : Quelque chose de grave est arrivée. C’était le premier cours du semestre…
Flash-back
Ted : Jamie Adamic. Salut. Brian Glow-atz. Glau-atz ? Salut. Bien joué. Rajouter un faux nom sur la feuille d’appel, très original les gars. Vous savez, je m’attendais à un peu de maturité, venant de la part d’étudiants comme vous, et, franchement, plus créatif. Je veux dire, sérieusement, quel genre de faux nom c’est, Jen Coulin ?
Etudiante : Présente.
Ted : Allez les gars, vous auriez au moins pu le faire sonner juste. Jen Coulin ?
Etudiante : Présente.
Ted : Qu’est-ce qui est arrivé aux classiques ? Sam Troulcu, Ted et Bill Oukoi, Maby Stoukette, Roland Culé, ça c’est des faux noms, mais Jen Coulin ?
Etudiante : Ici.
Ted : Jen Coulin !
Etudiant : Elle est juste là.
Fin flash-back
Lily, Robin et Marshall se moquent de Ted.
Ted : Allez, j’attends, balancez toutes vos blagues sur Jen Coulin.
Lily : On va pas faire des blagues, Ted. Je veux dire, cette fille doit vraiment être au fond du trou.
Marshall : Tu salis vraiment le nom de Jen Coulin.
Ted : Vous avez fini ?
Robin : Tu lui as demandé si elle était bien arrivée à sortir ?
Lily : Wow, deux d’affilée, Barney est à fond.
Barney sort du bar accompagné.
Robin : Cette fille est une chanceuse, Barney a été mon meilleur coup.
Ted : Et c’est le meilleur ami que j’ai jamais eu.
Lily : Il est tout ce que j’aimerai que Marshall soit.
Marshall : Il est tout ce que j’aimerai être.
Barney : Je suppose simplement que c’est ce qu’ils disaient quand j’étais parti.
Jim : J’y crois. Vous êtes génial. Maintenant, nuit n°3. Décrivez-la-nous.
Barney : Jim, je peux vous dire que j’étais bien parti, donc j’ai voulu corser un peu.
Troisième nuit…
Barney : Je pense que je vais prendre de petits nichons ce soir.
Lily : T’es dégueu.
Barney : Lily, c’est des personnes aussi.
Wendy : Voilà vos burgers.
Marshall : merci.
Lily : Merci.
Ted : Vous partagez pas ? Vos partagez toujours.
Lily : Bien sûr que non !
Marshall : On est pas ce genre de bizarros qui partagent tout.
Robin : Bien sûr que si.
Ted : C’est exactement ce que vous êtes.
Lily : On est parfaitement normal.
Robin : Qu’est-ce qui se passe les gars ?
Marshall : Vous savez que, Lily et moi on a cherché un nouveau couple d’amis depuis qu’on a perdu Robin et Barney, et Ted et Stella, et Ted et Robin, et Ted et Victoria… Ted, quand est-ce que t’arriveras à en garder une ?
Ted : Comment est-ce qu’on en est arrivé à ça ?
Lily : On a fait une super sortie à 4, on était cool, on était relaxe, on a pas flippé.
Marshall : Et là, un tout petit détail a fait surface, et ça a ruiné toute la soirée.
Flash-back
Homme : …et la brosse à dents de Joanna est éjectée du lavabo, heurte le plafond, et tombe tout droit dans les toilettes.
Marshall : C’est dingue ça, la semaine dernière, il s’est passé la même chose avec notre brosse à dents.
Femme : Notre brosse à dents ?
Fin flash-back
Ted : Notre brosse à dents ?
Jim : Notre brosse à dents ?
Flash-back
Lily : Ouais.
Homme : Comme dans, une brosse à dents ?
Fin flash-back
Robin : Comme dans, une brosse à dents ? Que vous utilisez tous les deux ?
Jim : Tous les jours ?
Flash-back
Lily : C’est bizarre ?
Fin flash-back
Tous : Super Bizarre.
Ted : Marshall, 4 dentistes sur 5 viennent de se vomir dessus.
Robin : Hé, regardez, Barney en a encore tombé une.
Lily : Wow. 3 filles en 3 nuits. C’est dégueu, même venant de Barney.
Ted : Dégueu ? Tu plaisantes ? Il est bien partit pour faire un sans…
Marshall : Ne le dis pas ! Tu vas lui porter la poisse !
Lily : Porter la poisse à quoi ?
Barney : J’étais parti pour réaliser… un sans faute.
GENERIQUE
Barney : Un sans faute. 7 nuits, 7 filles, 0 rejet.
Jim : Impressionnant. Je veux dire, c’est l’équivalent sexuel du match parfait au baseball, en encore plus dur.
Barney : Ouais. Le seul joueur de toute l’histoire à avoir accompli les deux était Pete Drexell ‘Le moustachu’, en 1896.
Jim : C’était pas la première fois que vous étiez sur le point de l’accomplir. Vous saviez donc que, une erreur, et s’en est fini. Parfois, le coéquipier fait une erreur. Parfois, un terrain miné…
Barney : Toi et moi, dans le cagibi de la supérette espagnole d’à côté.
Jim : …vous mène droit dans le mur. Et parfois, vous vous dispersez. Et ça se termine pratiquement toujours mal. Mais cette semaine, vous en étiez à 3 sur 3, et aucun signe d’affaiblissement.
Barney : Je pourrai même dire, un sans faute. J’aurai aimé en dire de même de mes amis.
Quatrième nuit…
Ted : Jen est pas venu en cours aujourd’hui.
Marshall : Excuse-moi, Jen ?
Robin : Ouais, Ted, on connait des tonnes de gens qui s’appellent Jen.
Marshall : Ouais.
Ted : Jen Coulin.
Robin : Ah, on y est. L’appel redouté de Dale. Oh, c’est ma mère. Elle a de gros problèmes de santé. Mais pourquoi est-ce qu’il n’appelle pas ?
Lily : Attends une seconde. Tu veux qu’il appelle ?
Robin : Non ! Tais-toi ! Vous avez pas un genre de brosse à dents à partager ou quelque chose comme ça ?
Ted : Ouais. Quand est-ce que vous avez commencé à faire ça en plus ?
Marshall : Ca fait des années ! Tu devais bien le savoir, tu vivais avec nous.
Ted : Ouais, mais vous gardiez toujours votre brosse à dents dans la salle de bain, ce qui est, en passant, bizarre aussi.
Lily : On la gardait dans la salle de bain.
Ted : Non, il y avait qu’une brosse à dents dans la salle de bain, et c’était la mienne.
Robin : Attends. Est-ce que vous êtes en train de dire que pendant 8 ans, vous vous êtes partagés une brosse à dents à tous les 3 ?
Marshall : Oh mon dieu !
Ted : Achevez-moi !
Robin : Je m’éclate tellement !
Barney sort en compagnie d’une femme.
Jim : Donc, vous en êtes à 4, il vous reste plus qu’à faire un 5 à 7.
Barney : Bien joué, Jim.
Jim : Hé, j’essaye. Je suis pas toi. C’est alors qu’arrive la nuit n°5, et les ennuis avec.
Cinquième nuit…
Ted : Bière ! Salut.
Marshall : Salut. Comment va Barney ?
Ted : Comme un charme. Comme toute la semaine.
Marshall : Ouais ? Difficile à croire.
Ted : Pourquoi ?
Marshall : Apparemment, cette grosse fusion de la semaine dernière s’est mal passée, et Barney porte le chapeau.
Lily : Oh, c’est bizarre. Il a rien dit.
Marshall : Même moi qui travaille avec lui, je l’ai seulement appris cette après-midi, quand je suis passé devant le bureau de son patron.
Flash-back
Marshall est devant le bureau du patron où Barney se fait sermonner.
Patron : …ce que ça a couté à cette entreprise, Stinson ?!
Marshall : J’avais jamais vu Barney si effrayé.
Fin flash-back
Marshall : Je pense qu’il va se faire virer.
Ted : J’arrive pas à croire que Barney va se faire virer.
Marshall : Ouais, ils ont une réunion vendredi, pour savoir s’il garde son boulot ou non.
Robin : Pauvre gars. Il doit flipper.
Lily : Je vais aller lui parler.
Ted : Non ! Tu peux pas distraire un homme qui est en plein… tu sais quoi.
Lily : Allez, c’est sa carrière. C’est beaucoup plus important qu’un stupide sans…
Marshall : Ahh ! Okay. Tu peux lécher ma main autant que tu veux, je vais pas te laisser ruiner… Aïe !
Lily : On doit aller lui parler.
Ted : J’y vais. Il a besoin d’un frère. Hey mon pote.
Barney : Hey !
Ted : Tout va bien ?
Barney : Absolument. A fond. Ca pourrait pas aller mieux. De qui je me moque ? J’ai besoin de toi.
Ted : Tout ce que tu voudras. Qu’est-ce qu’il y a ?
Barney : Laquelle de ces filles à l’air la plus débile ?
Ted : Voyons ça. Déjà chauffée à souhait ? La défoncée, dehors ? Ok. Je pencherai pour Big Mac.
Barney : Merci, Skip.
Lily : Alors, qu’est-ce qu’il a dit ?
Ted : Hein ? Oh, il va tenter avec la fille qui tient le hamburger là-bas.
Lily : T’étais supposé lui parler de sa perte de boulot.
Ted : Lily, en quoi est-ce que le forcer à faire face à un problème qu’il ne peut pas régler va l’aider ?
Lily : Et en quoi l’ignorer va arranger les choses ?
Ted : T’as bien ignoré les problèmes d’hygiène dentaire pendant une petite dizaine d’années. Et pourtant t’as l’air de…
Lily : Jen Coulin !
Robin : Jen Coulin.
Ted : Dale t’as appelé ?
Robin : Pourquoi est-ce que tu…
Marshall : Les gars, les gars, regardez !
Barney sort une nouvelle fois du bar au bras d’une jeune femme.
Jim : Barney, je vais vous interrompre une seconde, je dois vous demander quelque chose. Avez-vous déjà pris du viagra ?
Barney : Non, monsieur. J’aime jouer dans les règles. Bien que je puisse pas dire qu’on m’en n’ait pas proposé.
Flash-back
Barney est chez Lily et Marshall.
Marshall: C’était assez génial. Tu devrais essayer. Il m’en reste un peu.
Barney : Non merci.
Marshall : T’es sûr ? Ok, fais comme tu veux. Quelle heure il est ?
Barney : C’est 8h00.
Marshall : 8h00 ? Je dois aller à l’hôpital.
Fin flash-back
Barney : J’y ai jamais touché. Je peux pisser dans un bocal si vous voulez, Jim Nantz.
Jim : Barney, je vous fais confiance. Je regrette même d’avoir posé la question. Parlons plutôt de la nuit n°6. A deux filles prêt de la perfection.
Sixième nuit…
Ted : …sérieusement les gars.
Barney rejoint Marshall, Lily, Ted et Robin à l’appartement.
Marshall : Hey !
Ted : Hé, qu’est-ce que tu fais là ? Retourne au bar !
Barney : Ted, relax. J’en suis déjà à 6 sur 6.
Ted : Vraiment ?
Barney : Ouais. Je mangeais à la Taverne des Légumes, j’ai commencé à parler à cette Top Model suédoise, et l’instant d’après on batifolait à l’arrière d’une calèche. Allez ma belle, Hue !
Ted : Génial. Qu’est-ce qui s’est vraiment passé ?
Barney : J’ai mangé au « Staten Island Chili’s », et j’ai sauté une coiffeuse complètement bourrée. T’es content, Ulysse ?
Lily : Barney, on sait que tu vas peut-être te faire virer. Attends, tu dois en parler. Tu te détournes de la réalité en baisant inutilement de tous les côtés.
Barney : Pas inutilement, ok ? Entre numéro 5 et moi, y avait une connexion. Elle va reprendre ses études, ou elle a un enfant qui fait des études… quelque chose avec « études ».
Ted : Aujourd’hui mes élèves m’ont appris que Jen Coulin abandonnait ma matière.
Marshall : Oh, mon Dieu, tu l’as vraiment poussé à bout.
Robin : Elle balance toute son éducation dans les toilettes.
Ted : Des nouvelles de Dale ?
Robin : Ca fait seulement 5 jours, il va appeler !
Marshall : Qu’est-ce que ça peut te faire ? T’as dit que c’était un gros con.
Robin : Parles pas de Dale comme ça, ok ? Il est deux fois mieux que tu ne le seras jamais !
Lily : Dieu nous en garde, si t’arrives à retrouver un boulot, vends ton appart’. Marshall et moi, on a une chambre de libre. Tu peux y rester autant que tu veux.
Robin : Oublie pas t’amener ta brosse à dents.
Ted : Lily, qu’est-ce que tu fais ?
Lily : Je parle à mon ami qui est en train de vivre une période difficile.
Marshall : Il s’en sort très bien.
Lily : Essayer de coucher avec 7 femmes en 7 nuits, c’est pas ce que j’appellerais « très bien s’en sortir ». C’est un appel à l’aide.
Ted : Sa vie toute entière est un appel à l’aide. Mais on ne plaisante pas avec un homme qui est au beau milieu d’un sans…
Lily : Quoi ? Sans faute ? Sans faute, sans faute, sans faute ! Grandissez un peu !
Barney prend sa veste et part.
Jim : Incroyable. Vous savez, il y a deux choses qui ne se font pas. Premièrement : vous n’ouvrez pas un mail venant de Phil Simms devant vos enfants. Et deuxièmement : vous ne portez pas la poisse à un homme bien parti pour un sans faute.
Barney : Je ne sais pas quoi vous dire, Lily essaye toujours de tout me gâcher.
Jim : Je pense qu’elle craque un peu pour le Barnacle.
Barney : Vous avez l’œil pour remarquer ce genre de détails, Jim Nantz.
Septième nuit… Au McLaren’s.
Ted : J’arrive pas à croire que tu lui aies porté la poisse.
Marshall : Il a plus aucune chance.
Lily : Ok, j’ai une question. Si j’ai tout ruiné, pourquoi est-ce que Barney est en train d’accrocher la fille au 3 martinis là-bas ?
Ted : Oh, mon Dieu !
Marshall : Il va y arriver !
Lily : Ouais, vous voyez ? Les portes-poisse, ça n’existe pas.
Jim : Ne me dites pas qu’elle a osé dire « Les portes-poisse, ça n’existe pas ».
Barney : J’aurai aimé pouvoir.
Jim : Vous étiez sur le point de concrétiser quelque chose de si magnifique.
Barney : Et bien, merci à elle, la seule chose qui peut empêcher un coup assuré était sur le point de franchir la porte. Un membre des Yankees de New York, champions du monde en 2009.
Marshall : Lily, je vais m’acheter ma propre brosse à dents.
Ted : Et bien, voilà. Barney est quand même arrivé à 6.
Robin : Quoi ? Pourquoi ? Parce que le gars avec la coupe bizarre est rentré ?
Marshall : C’est Nick Swisher. Il fait parti des Yankees de New York. Aucun gars normal de New York ne peut rivaliser avec un Yankee.
Ted : Et c’est aussi vrai pour un ex-Yankee. Quand je suis arrivé ici, j’en étais au 4ème rencard avec une fille que j’aimai beaucoup avant que je me la fasse voler par Phil Rizzuto.
Marshall : J’étais là. Putain, ce gars savait jouer.
Robin : Je vois toujours pas.
Lily : Ok, laisse-moi te le faire à la Canadienne alors, comment est-ce que tu réagirais si un de ces gars avec des patins et des bâtons rentrait ici ?
Robin : Lily, si un des Canucks de Vancouver entrait ici, je tomberai tellement sur le cul qu’il y aurait un trou à moitié chemin pour la Chine dans le sol.
Ted : C’est la même chose pour les Yankees.
Robin : Ah, Barney est foutu.
Marshall : C’est en train de se passer, regardez.
Barney : Tu veux venir chez moi, et regarder la collection de boules de neige ?
Marshall : Collection de boules à neige ?
Ted : Il est en train de flipper.
Femme : C’est Nick Swisher !
Tous : Bien tenté.
Ted : C’était bien joué, bien joué, bien joué.
Barney : Mais pas assez bien joué. Toute cette semaine était une perte de temps. Et demain, je me fais virer.
Marshall : Je suis désolé. Mais pour ce que ça vaut, cette semaine était pas une perte de temps. On a tous eu une semaine horrible, et tu nous as permis de changer un peu d’air.
Ted : Ouais, j’ai eu mon premier abandon.
Robin : J’ai rencontré mon âme sœur, et il m’a jamais rappelé. Enfin, pas encore. Il le fera. Il le fera.
Marshall : On a fait peur à un couple génial juste parce qu’on partage une brosse à dents.
Barney : Vous partagez une brosse à dents ?
Robin : Et bien, eux et Ted.
Barney : Hein… ?
Ted : Attends une minute. Quand on sortait ensemble, t’empruntait cette brosse à dents tout le temps.
Robin : Oh, merde.
Ted (de 2030) : Et c’est là que tante Lily s’est aperçue ce qui est génial avec le sport, ils vous font oublier vos problèmes, mais uniquement pour un petit bout de temps. Et au fond de nous, on avait tous besoin de ce sans faute.
Ted : A la seconde où elle s’assoit à côté de Swisher, s’en est fini.
Marshall : Attends un peu ! Aldrin l’a aperçue. Elle essaye de s’enfuir, elle plonge, et… Je pensais pas du tout qu’elle allait faire ça.
Femme : Oh mon Dieu, ça va ?
Lily : Ouais, désolée. Je suis tellement maladroite ! Oh, merci. Je crois que je me suis tordu la cheville. Est-ce que tu peux m’apporter un peu de glace ?
Femme : Bien sûr.
Marshall : Elle l’a fait ! Je crois qu’il n’y a pas de porte-poisse finalement.
Wendy : Je t’amène de la glace, Lily.
Marshall : Merde. Swisher est de nouveau en jeu. Swisher est de nouveau en jeu !
Ted : Suivez-moi. Hey, Nick Swisher ! Ce gars et sa femme partagent une brosse à dents !
Nick : Et ?
Ted : Et, c’est bizarre, non ?
Nick : En fait, je pense que c’est mignon. Est-ce qu’on essaye pas de trouver quelqu’un avec qui on pourrait partager sa brosse à dents ?
Marshall : Excusez-moi. Lily, Nick Swisher pense qu’on est mignon.
Barney : Martini ?
Ted : On prend une bière avec un Yankee, si ça c’est pas cool !
Robin : C’est génial, je suis à fond le baseball. Mookie Wilson, tout un joueur hein ?
Nick : Ouais, le baseball, c’est génial, mais moi je vous dit, c’est pas du hockey.
Robin : Je vis juste au-dessus.
Femme : Qu’est-ce que tu dirais qu’on aille chez moi ?
Barney : Wow, pour être honnête, c’est pas dans mes habitudes, mais je sens une vraie connexion, numéro 7… Christy. Je t’en prie. Je l’ai fait ! Je l’ai fait !
Ted et Marshall portent Barney.
Jim : Incroyable. Félicitation pour votre sans faute.
Barney : Merci, Jim. J’aurais jamais pu le faire sans l’aide de mes amis.
Jim : Hey, sur un autre sujet, vous pensez vraiment que vous pourriez vous faire virer aujourd’hui ?
Barney : Euh, Jim, je vous ai dit que je voulais pas en parler.
Jim : Barney, je sors tout droit de votre imagination, donc apparemment, on doit en parler ! Pense à ça.
Barney : Quel con.
Jim : C’est toi le con.
Femme : Mr Donovan va vous recevoir maintenant.
Mr Donovan : Stinson, nous avons pris une décision. On vous garde. Je sais que cette dernière semaine a dû être dur.
Barney : J’ai à peine dormi.
La bande est au bar.
Marshall : Voilà les gars, les casquettes officielles du sans faute de Barney. J’allais faire des t-shirts, mais vous savez, les tailles, tout ça, et ça allait me faire mal d’y penser.
Lily : En commémoration, à l’entrée de Barney dans la légende, cette cravate, porté lors de sa 7ème nuit de son sans faute, fraichement retirée.
Marshall : Puisse l’histoire héroïque de Barney être dans les mémoires, et transmise de générations en générations.
Ted : Je me vois déjà devant mes enfants, en train de leur raconter l’époque où leur oncle Barney a baisé 7 gonzesses d’affiler.
Ted (de 2030) : Est-ce que je suis un mauvais père ?
Au McLaren’s…
Wendy : Une commande pour Jen Coulin ? On a une grosse commission ici pour Jen Coulin.
Ted : Vous envoyez Wendy le dire maintenant ? Allez ! C’est bon, j’ai compris. Jen Coulin est un nom de merde, et il devient de plus en plus merdique quand on le répète. Jen Coulin. Jen Coulin. Jen Coulin.
Jen : Présente.
FIN