En 2030, Ted raconte à ses enfants l’histoire de la rencontre avec leur mère.
Ted (de 2030) : Les enfants, on ne sait jamais quand on va rencontrer quelqu’un d’important. Ce n’est pas comme si la vie vous prévenait. Vous regardez, et ils sont là.
Ted sort de sa salle de classe et dans les couloirs, il voit un groupe de jeunes avec des packs de bières.
Etudiant : Allez, on va aller se défoncer sur le toit.
Ted (de 2030) : Non, pas ce mec. Elle.
Etudiante : Pas la peine, Boomer.
Etudiant : Je ne m’appelle pas Boomer.
Etudiante : Pour moi, c’est ton nom.
Ted : Messieurs, je suis professeur dans cette université et vous êtes mineurs, c’est donc mon devoir de confisquer ça, et ça, et… du panaché ? Tu sais quoi, Boomer ? Tu peux le garder.
Ted est retourné dans sa salle de classe avec une étudiante.
Etudiante : Chaque semaine, un gars d’une fraternité m’invite à une fête et je lui dis « Je prépare mon doctorat et j’écris une thèse qui a pour titre Investissement étranger direct et liens intergénérationnels du comportement de consommation. »
Ted : Et ils te répondent ?
Etudiante : « C’est sexy. »
Ted : En fait, c’est vraiment sexy.
Etudiante : J’ai une confession à faire. Je te reconnais. Tu te souviens du premier jour du semestre dernier ? Eco avancée ?
Ted (de 2030) : Les enfants, vous vous rappelez l’histoire du mauvais amphi.
Flash-back
Ted (de 2030) : Je pensais être en intro en architecture, j’étais en éco avancée. Bien sûr, je ne savais pas que votre mère se trouvait dans l’amphi, et elle m’a pris pour un idiot fini.
Fin flash-back
Etudiante : Je t’ai pris pour un idiot fini. Mais un idiot très mignon.
Ted : Tu sors avec les idiots mignons ?
Etudiante : Presque tout le temps.
GENERIQUE
Ted est à son appartement avec Robin, Barney et Lily.
Ted : Elle veut passer un doctorat, elle lit de la philo pour le plaisir, elle finit les mots croisés du dimanche du New York Times.
Barney : Ted, je suis heureux pour toi. Désolé, pas pour toi, de ne pas être toi.
Ted : Pour résumer, j’ai un rencard ce soir. (On entend crier dehors) Merci, New York ! J’essaierai de ne pas le foirer.
Lily : Que se passe-t-il ? Il y a la queue devant le McLaren’s.
Robin : Et pourquoi c’est presque que des gars ?
Barney : Seules deux choses peuvent provoquer cette agitation.
Ted, Robin, Lily et Barney sont descendus au bar où tous les gars sont devant le comptoir.
Barney : Mesdames et messieurs, le McLaren’s a engagé une sexy barmaid.
Lily : Regardez tous ces gars. Le trottoir va sentir le pipi maintenant.
Robin : On ferait mieux de chercher un nouveau bar.
Barney : Quoi… es-tu folle ? C’est une barmaid sexy. Sais-tu combien de temps j’ai attendu pour me faire… Mes amis, j’ai couché avec beaucoup de femmes à ma glorieuse époque. Avocates, professeures, poètes, médecins, cavalières professionnelles, et animatrices… Une bouchère, une boulangère, une fabricante de bougeoirs. Oui, on est arrivés à la partie où ça rime. Une institutrice, une réparatrice, une observatrice… Une marionnettiste, une croupière, une femme au foyer, c’est aussi un boulot, les gars. Une juge de circuit court…
Robin : Abrège !
Barney : Je n’ai jamais, jamais couché avec une barmaid sexy, jusqu’à ce soir.
Robin : Elle n’est pas si sexy.
Ted : Serait-on jalouse de l’attention ? Se serait-on imaginé la fille la plus sexy du bar ?
Robin : Non. La ferme !
Barney : Souhaitez-moi bonne chance.
Lily : Ca n’arrivera jamais. Elle va prétendre de t’apprécier de la même manière qu’elle a hypnotisé tous ces génies.
Barney : Devine qui ne va pas tomber sous son charme ? Je vais lui faire « N’essaie pas, bébé. Papa a besoin d’un gin tonic. » Et quand elle l’apportera, je le recracherai en disant « Recommence ». Le mâle dominant là où il doit être : au dessus, et après quelques minutes, en dessous. Pourquoi je devrais tout faire ?
Marshall arrive.
Marshall : Les gars, quoi de neuf ?
Lily : Une nouvelle barmaid super sexy.
Robin : Vous voyez ? Marshall ne pense pas qu’elle est sexy.
Lily : Si, il le pense. Pas la peine de prétendre que les autres femmes ne sont pas attirantes juste pour mon bien.
Marshall : Je sais, et si cette femme était presque aussi sexy que la mienne, alors je l’admettrais, mais c’est pas le cas.
Lily : Bébé, tu es un ange, mais comparée à cette femme, je suis un gros sac poubelle de 3 jours.
Marshall : Je dis ce que je vois, et… je pense jusque que tu es la femme la plus belle du monde.
Lily : Vous voyez, c’est vraiment énervant.
Barmaid : Tu es tellement drôle. Ca fera 6,75 dollars.
Homme : En voilà, 50, gardez la monnaie.
Barmaid : Merci.
Barney : Amateurs.
Barmaid : Tu veux quoi ?
Barney : N’essaie même pas, bébé. Attends, quoi ?
Barmaid : Tu vas commander où rester là en étant ridicule ?
Barney : Heu…
Barmaid : Je ne sais pas faire un Heu. C’est moitié vodka et moitié barre-toi-de-là ?
Ted (de 2030) : Cette nuit là, je suis allé à un premier rencard très important.
Ted est chez l’étudiante avec laquelle il a parlé plus tôt.
Ted : Comment vas-tu ?
Etudiante : Bien. Entre.
Ted (de 2030) : C’est marrant, des fois on entre dans un appartement pour la première fois, mais on a la sensation d’être exactement là où on doit être. Et les enfants, c’était la première fois que je voyais le petit bus jaune de votre mère. Vous le connaissez. Il est juste derrière vous.
Ted : C’est mignon.
Etudiante : En fait, c’est à ma coloc.
Ted (de 2030) : Et donc j’étais là, dans l’appartement de votre mère, mis à part que je sortais avec sa coloc, Cindy.
Ted : Désolé, je ne devrais pas jouer avec les affaires de ta coloc. Elle ressemble à quoi ?
Ted (de 2030) : Je ne le savais pas, mais j’allais entendre la première description de la femme que j’allais épouser.
Cindy : C’est une pute. Je pense que c’est une dominatrice.
Ted : Quoi ?
Cindy : D’accord, désolée, ce n’est pas vrai. J’ai un complexe de coloc.
Ted : Pourquoi ?
Cindy : Les mecs tombent toujours amoureux d’elle.
Ted : Regarde-moi. Je te promets, je ne tomberais pas amoureux de ta coloc.
Ted (de 2030) : Oups !
Au bar, Marshall apporte des bières.
Lily : Maintenant que tu as pu y regarder de plus près, admets-le : la barmaid est la plus sexy du bar.
Robin : La deuxième plus sexy.
Marshall : Je répète…
Lily : Bébé, comment ne peux-tu pas vouloir te la faire ? Je veux me la faire. Si tu ne veux pas te la faire, désolée, mais tu dois être gay.
Marshall : Ouais, je suis gay. Gay pour toi.
Barney : Peu importe. Tu as compris pourquoi je suis le seul mec de ce bar qu’elle ignore ?
Marshall : En effet… Tu ne vas pas aimer la réponse.
Flash-back
2 minutes plus tôt…
Barmaid : Mes 3 derniers ex étaient des courtiers de Wall Street. Bâtards. J’ai juré ne plus jamais sortir avec un mec qui porte des costumes.
Fin flash-back
Barney : C’est facile. Je n’ai qu’à arrêter de porter des costumes.
Robin : C’est tout ? Allez, tu es toujours en costume.
Eté 2009, Barney fait du ski nautique en costume.
Barney : Vrai… Mais pour ces deux… Enfin, pour ça… Enfin, pour elle… Je vais arrêter de porter, attendez…
Robin : On sait que tu vas dire « costumes ».
Barney : Des costumes.
Ted et Cindy sont au restaurant.
Ted (de 2030) : Au même moment, Cindy et moi passions une agréable soirée, mais elle ne plaisantait pas sur son complexe de coloc.
Cindy : Une autre chose bizarre sur ma coloc : elle peint des robots qui font du sport.
Ted : C’est étrange.
Ted (de 2030) : Je mentais. Ca avait l’air génial. L’aquarelle du robot jouant au volley avec votre mère est toujours dans la remise.
Cindy : Et elle a cette habitude bizarre de faire chanter son petit-déj.
Ted : C’est bizarre.
Ted (de 2030) : La version de « Memories » de votre mère, chantée par un muffin anglais, est à ce jour, la plus belle chose que j’ai entendue de ma vie.
Ted : Ecoute, je suis vaincu. Je la déteste.
Cindy : Désolée. Elle n’est pas si mal. Je suis juste un peu jalouse.
Ted : Je ne sais pas pourquoi. Tu es géniale.
Ted (de 2030) : Mais pas autant que votre mère. Et en parlant de choses qui sont moins géniales, votre oncle Barney avait officiellement arrêté les costumes.
Barney est au McLaren’s, en jean et T-shirt.
Barmaid : Désolée de t’avoir mal jugé. S’il y a un genre d’hommes que je ne peux pas supporter, ce sont ceux en costumes. Ca, et une femme qui ne se respecte pas.
Barney : Les costumes et les complexées. Je les déteste. Je les déteste.
Ted rejoint Robin, Lily et Marshall assis à leur table habituelle.
Robin : Alors, ton rencard avec Cindy ?
Ted : Eh bien, hier soir, c’était sympa, aujourd’hui, moins.
Lily : Pourquoi ?
Flash-back
A l’université…
Cindy : J’ai découvert que le règlement sur les étudiants et professeurs sortant ensemble est très strict. Je pourrais perdre ma bourse.
Ted : C’est pas comme si tu suivais mon cours. On n’est même pas dans le même département.
Cindy : Désolée, mais je ne peux pas prendre ce risque.
Fin flash-back
Ted : Elle exagère, là, non ?
Robin : En fait, Ted, elle a raison.
Lily : Et réfléchis. Si les règles sont si strictes, tu pourrais mettre ton travail en jeu.
Marshall : Je crois que tu devrais la laisser, mon pote.
Ted : D’accord, je recommence. Elle exagère, là, non ?
Ted (de 2030) : Evidemment, ils avaient raison. Je devais la laisser partir, mais comme votre oncle Barney allait le découvrir, ce n’est pas toujours facile.
Barney cherche des vêtements dans son armoire.
Conscience de Barney : En costume.
Ted (de 2030) : Personne parmi nous n’avait encore vu Barney aussi longtemps sans costume, et les enfants, ce n’était pas beau à voir.
Marshall rejoint les autres au bar, en costume.
Marshall : Pardon pour mon retard. J’étais coincé au boulot. J’avais cette présentation sur les taxes sur les dividendes.
Lily : Bien sûr, j’écoutais attentivement quand tu en as parlé.
Marshall : Donc, j’ai lancé le Powerpoint… (Barney se frotte au costume de Marshall) Barney ?
Barney s’enferme dans les toilettes où il y trouve un costume.
Conscience de Barney : En costume.
Il se retrouve en costume quand Marshall vient le chercher.
Marshall : On va commander à manger.
Barney : J’arrive dans une seconde.
Marshall repart et Barney enlève son costume. Il craque sa veste de costume.
Barney, courant dans la rue : Hors de mon chemin ! Reste avec moi. Ce n’est pas ton heure.
Ted (de 2030) : Si quelqu’un pouvait réparer une telle chose, c’était le tailleur personnel de Barney, TV’s Tim Gunn.
Barney est chez son tailleur.
Tim : Désolé, Barney. Il n’y a plus rien à faire.
Barney : Si jeune. Tu ne peux rien faire d’autre ?
Tim : Non. Mais on peut utiliser les boutons de ce costume sur un autre.
Barney : Il peut… Comme un don d’organe ?
Tim : La mort de ce costume pourrait sauver la vie d’un autre.
Barney : Mais, je… Fais-le.
Tim : Tu fais ce qu’il faut. Ne pleurs pas sur ça. C’est de la soie.
Barney : Désolé. Je sais. Je sais.
Barney a rejoint Marshall, Lily, Ted et Robin au bar, avec une urne dans les mains.
Barney : On a incinéré les restes. Ses boutons ont sauvé une veste malade de l’Upper East Side.
Robin : Finalement, tu peux abandonner la quête de la soi-disant sexy barmaid.
Barney : Non. Mon costume a donné sa vie pour cette cause, et je ne me reposerais pas avant que ces deux… Enfin, que ça… Enfin, qu’elle… Sois mienne.
Ted : Il a totalement raison.
Lily : Qui, le type qui embrasse une urne pleine de cendre de costume. Ce type ?
Ted : Et si Cindy est la femme que je dois épouser, et que j’abandonne ? Adieu, élégante mais accueillante maison de Westchester, avec un prêt raisonnable que je peux payer sans me ruiner. Au revoir, les 2 enfants élevés d’une main sévère mais aimante, trouvant la balance parfaite entre le père et l’ami. Adios, les triplés Schnauzers, Frank, Lloyd et Wright. Le fait est, je n’abandonne pas non plus ! (Ted se lève et va embrasser l’urne de Barney avant de sortir) Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça.
Barmaid : Barney, désolé pour ton ami. Parle-moi de lui.
Barney : Il était italien. Classique, élégant. Et mon Dieu qu’il savait y faire avec les femmes. Elles ne pouvaient pas lui dire non.
Barmaid : Il avait quel âge ?
Barney : 7 ans. Il me manque tellement !
Barmaid : Tu ne devrais pas rester seul, ce soir. Je vais terminer plus tôt.
Barney : Merci, mon vieil ami. Tu t’en vas sur un bon coup.
Barney part avec la barmaid.
Lily : Admets-le, elle est plus sexy que moi. Ca ne me blessera pas.
Marshall : Je peux pas. T’es plus sexy qu’elle.
Lily : C’est une déesse ! Sa peau rayonne. Ses jambes sont super longues. Et ce cul ? Je veux bien l’avoir, même sur la tête ! Cette nuit, je l’admets, j’ai pensé à elle un peu plus d’une fois.
Marshall : Qu’est-ce que tu… ? Genre, tu penses qu’elle est plus sexy que moi ?
Lily : Je n’ai jamais dit ça.
Marshall : Tu le penses !
Lily : C’est pas comparable. Elle est plus jeune que toi.
Marshall : Je dis juste, genre, moi, à mon vieux, contre elle, à son vieux.
Robin : Vous deux, le fait qu’elle soit sexy n’est pas réel ! Elle est sexy grâce aux circonstances ! Regardez.
Robin enlève sa veste et passe derrière le comptoir.
Marshall : Je suppose que tu penses qu’elle aussi, est plus sexy que moi.
Carl : Qu’est-ce que tu fous ?
Robin : Quoi ?
Carl : Tu n’as pas le droit d’être là.
Robin : Carl, écoute. Non. Je ne veux pas repartir. Pitié, pitié, ne me force pas à repartir.
Carl : Tu dois partir. Tu dois partir.
Robin : J’étais quelqu’un, là, derrière ! Tout le monde m’aimait.
Ted marche sous la pluie. On frappe chez Cindy.
Ted : On peut parler ?
Cindy : Ma coloc va sortir de la douche. Allons dans ma chambre.
Ted : Je sais que le règlement nous interdit de sortir ensemble. Mais il dit aussi « Ne pas enseigner en ayant bu » et je le fais tout le temps. Le fait est… Je t’apprécie beaucoup. Tu es mignonne, drôle. Tu écris une thèse qui a pour titre, Investissement étranger direct et liens intergénérationnels du comportement de consommation. C’est trop sexy ! Je sais que ça a l’air fou, mais… je sens que nos chemins sont censés se rencontrer, et… Je ne veux pas rater de te connaître.
Cindy : Je ne le veux pas, moi non plus.
Ted : Je dois te dire, rien qu’en regardant ta chambre, je sais qu’on a beaucoup en commun.
Cindy : Vraiment ?
Ted : The Unicorns ? Who will cut our hair when we’re gone? Je pensais être le seul à avoir cet album.
Cindy : C’est à ma coloc. Je lui ai emprunté.
Ted : Et ça ? Au bout du monde de T.C Boyle ?
Cindy : Cadeau d’anniversaire… de ma coloc. Je ne l’ai pas encore lu.
Ted : Tu devrais. Il est vraiment bien. Et ça ? C’est le comble. Tu joues de la basse ? Sérieux, demande à mes amis. J’ai toujours dit que ma femme parfaite… ne joue pas de la basse, car c’est clairement celle de ta coloc.
Cindy : Elle est dans un groupe.
Ted : Merde, c’est cool.
Cindy : C’est incroyable. Tu as choisi les seules 3 choses ici qui sont à ma coloc.
Ted : Le groupe de ta coloc fait des concerts ou… ?
Cindy : Dégage.
Ted (de 2030) : Les enfants, comme vous l’aurez deviné, ce n’était pas la nuit où j’avais rencontré votre mère. Bien que je pense avoir aperçu son pied. Mais je me suis rapproché de la rencontre avec la femme de mes rêves. Et votre mère… Elle avait récupéré son parapluie jaune.
Barney ramène la barmaid chez lui.
Barney : Il était tellement spécial, tu vois ? On devrait observer une minute de silence. Suivie d’environ, 20 minutes de grognements.
Barmaid : Je vais t’aider à te sentir beaucoup mieux. Laisse-moi me rafraîchir.
Barney : D’accord. Attend. Non, ce n’est pas la salle de bains. C’est…
Barmaid : Ils sont à toi ?
Barney : Je fais du costume-sitting pour quelqu’un.
Barmaid : Barney, tu m’as menti. Tu dois choisir tout de suite. Moi… ou les costumes.
La barmaid part.
Barney, chantant et dansant dans la rue : Je sais ce que vous vous dites, « Qu’est-ce que Barney a bu ? Cette fille était canon ! » J’aurais pu me la faire, mais je n’ai rien raté car il y a une chose qu’elle n’est pas. Me faire un 10 serait pas mal, mais je préfère être sur mon 31. C’est un fait que vous ne pouvez nier. Rien n’me va mieux qu’un costume ! Imaginez un monde où les hommes et les femmes seraient parfaitement bien habillés ! Ce livreur de savate en costume-cravate, ce chiot dans un croisé ! Ce mec avec ses rouflaquettes, ce bébé avec une sucette ! Cette gendarmette belle à croquer. Rien n’leur va mieux qu’un costume ! Un copilote que j’peux porter, ils sont, oh, si distingués ! Le parfait truc pour m’attraper une fille avec des problèmes de père, en bleu marine ou noir ! (2 hommes sortent d’un magasin avec un portoir remplis de costumes) Matez ce parfait portoir ! Je veux leur faire des guilis.
Marshall, faisant de même : Oh, vraiment ! Alors, réponds à ces questions, je t’en prie. Que ferais-tu si tu devais choisir entre tes costumes et un chaudron d’or ?
Barney : Costumes !
Marshall : Que dirais-tu, contre tous tes costumes on t’offrait la jeunesse éternelle ?
Barney : Costumes !
Robin : Que choisirais-tu : un million de filles ou un seul trois pièces ?
Barney : Faut voir.
Lily : Et un monde en paix qui serait à ta portée ?
Barney : Je vais vous arrêtez. Ce sont les costumes. Arrête un peu tes conneries. Deux, trois, quatre ! Les filles viendront et repartiront mais les vêtements restent constants ! Chaque pote qui dépote et radote, qu’il n’y a pas de remplaçant ! Désolé, mes costumes, je vous donne ma vie. Mes habits du dimanche sont mes meilleurs amis ! Les fringues décontractées vont dans le panier car rien ne va mieux, à l’incontesté souvent salué, prétendant à la renommée qu’un… vrai… Attendez la suite… Costume…
Ted, Marshall, Lily : Rien ne lui va mieux… qu’un… Costume. En costume ! En costume ! Costume… !
Barney : Remarquez, elle est plutôt canon. (Retour chez Barney) Je te choisis toi, bébé. Dès demain matin, je me débarrasse de ces costumes.
Barmaid : Vraiment ?
Barney : Ouais. (Ils s’embrassent) Je ne vous ferai rien !
FIN