Ted (de 2030) : Marshall et Lily avaient passé 9 merveilleuses années ensemble, jusqu’à ce qu’elle le jette et parte à San Francisco. Le processus de guérison prenait un bon moment. Puis, un soir, il fit un bon en avant.
Barney, Robin, Marshall et Ted sont au McLaren’s.
Robin : Bon, je vous vois plus tard, les mecs.
Ted : Je t’accompagne.
Marshall : A plus.
Barney : Tu viens de mater les fesses de Robin.
Marshall : Quoi ? Non ! Barney, je…
Barney : Mon pote, c’est formidable. Tu oublies enfin cette petite rousse.
Marshall : Lily.
Barney : Oui, Lily. Merci. Ca m’aurait rendu fou toute la nuit. Hey, Ted, Marshall vient de mater les fesses de ta copine.
Marshall : Pas du tout, Ted, je…
Ted : C’est formidable. Tu vas enfin mieux.
Barney : C’est le moment que j’attendais. A partir de ce soir, je vais t’apprendre à vivre. Ted, tu as eu ta chance. Tu vires, c’est au tour de Marshall.
Ted : Oui !
Marshall : Oh, mon dieu.
Barney : Marshall, être un mec célibataire à New York, c’est comme… Qu’est-ce que c’est que tout le monde aime ?
Marshall : Les bonbons.
Barney : Oui, c’est comme être dans un magasin de bonbons. Tu rentres et tu empoignes des Maltesers. Ouais. C’est les Maltesers les meilleurs ?
Ted : Les Bounty.
Barney : Les Mars.
Ted : Les Dragibus.
Ted (de2030) : Ca a bien duré une heure ; je vais sauter à la conclusion.
Ted : Billes de chewing-gum.
Barney : Excellent ! Marshall. On fait ça. Je ne prends pas « non » pour une réponse.
Marshall : Très bien.
Ted : Hey, Robin. Marshall a maté tes fesses.
Marshall : Ted, c’est quoi ton problème ?
Robin : Il a maté mes fesses. Hey, remercie-le. J’avais l’impression qu’elles passaient une sale journée. Cool, à plus.
Robin arrive à son appartement et Lily attend devant.
Robin : Lily.
Lily : C’est des fesses géniales.
GENERIQUE
Ted (de 2030) : Aucun de nous n’avait vu Lily en 3 mois. Il y avait tant de questions sans réponses, tant de choses à dire.
Robin : Tes cheveux sont adorables.
Ted (de 2030) : Pendant ce temps, Barney emmenait Marshall rencontrer des femmes pour la première fois depuis ses 17 ans.
Au Bar…
Barney : Salut. Avez-vous rencontré Marshall ?
Femme : Salut.
Marshall : Salut. Regardez comme mes mains sont moites. C’est bizarre, hein ? Heu, moite ? Comme cette eau malodorante sort de votre peau. C’était sympa de faire votre connaissance.
Barney : Je…je déteste interrompre, mais, heu… vous aimez la magie ?
Femme : Um, j’imagine. (Barney fait un tour) Oh, mon dieu !
Barney : Quoi qu’il en soit, Marshall que voilà est formidable. La salade en sachet ? Son idée.
Dans un snack…
Barney : Mon pote ! Tu étais formidable hier soir. Tu étais charmant, tu étais drôle, tu travaillais cette fille au corps.
Marshall : Tu es rentré avec elle.
Barney : Oui, en effet. Mais elle m’a dit que si ça n’avait pas été moi, tu aurais eu une chance avec elle, alors hypothétiquement, tu as marqué hier soir. D’accord ! Tope-là hypothétique. Excellent. Bien. Ce soir, on va aller au bar…
Marshall : Barney, non, je ne ressortirai jamais avec toi.
Barney : Allez ! Je…je t’apprendrai toutes mes stratégies.
Marshall : Oh, vraiment ?
Barney : Mon préféré, le numéro 7 : créer un mystère à ton propos. Comme ça, ça les intrigue tellement qu’elles doivent traîner avec toi toute la nuit.
Marshall : Oh, allez, ça marche vraiment ?
Barney : Peut-être que oui, et peut-être que non.
Marshall : La vache, c’est intriguant. Okay, je suis.
Robin arrive à l’appartement de Ted.
Robin : J’ai quelque chose à t’apprendre.
Ted : Tu ne vas pas croire ce qui vient d’arriver.
Robin : Toi d’abord.
Ted : J’ai trouvé un penny de 1939 dans le métro. Imagine juste le genre d’histoire que ce petit truc en cuivre…
Robin : Lily est de retour en ville.
Ted : Et tu me laisses commencer ? Tu l’as vue ?
Robin : Ouais. En fait, je suis allée à la chasse à l’appartement avec elle aujourd’hui.
Ted : Comment va-t’elle ?
Robin : Tu ne vas pas apprécier.
Flash back
Lily et Robin visitent un appartement.
Lily : Je vais super bien. Cet été, meilleure chose de tous les temps ! San Francisco est si phénoménal maintenant.
Fin flash back
Ted : Elle est heureuse ?! Marshall a passé le pire été de sa vie, et elle est heureuse. Ouais, et je présume que son projet artistique a répondu à ses attentes.
Flash back
Lily : Oh. Le projet artistique… meilleure chose de tous les temps.
Lily peint.
Homme : Oh, mon dieu. C’est ta meilleure œuvre. En toutes mes années d’enseignement, je n’ai jamais vu quelque chose de si…Pas besoin de le dire, ça c’est de l’art. Je n’ai plus rien à t’apprendre.
Lily : Mais la meilleure partie de S.F…Oh, c’est comme ça qu’on appelle San Francisco…les gens. Même rien qu’en circulant en bus tout l’été. C’était comme une tapisserie humaine.
Lily est dans le bus.
Homme 1 : Salut, je suis Mike. Je suis un moine bouddhiste/ écrivain voyageur.
Femme : Je suis Paula. Je chante dans un groupe de punk pour enfants.
Lily : Ouais.
Homme 2 : Je suis Dan. Je suis neurochirurgien. Vous êtes époustouflantes, d’ailleurs.
Retour à la visite de l’appart.
Robin : Wow. Je suis si contente pour toi.
Fin flash back
Ted : Oh, elle est tellement…Après ce qu’elle a fait à Marshall, elle devrait revenir ici dévastée, rampant à 4 pattes sur les débris de verre de sa honte et de ses remords.
Robin : Tu n’as jamais choisi de côté. Je respecte ça.
Ted : Elle est incroyable. Incroyable.
Marshall : Incroyable ? Qu’est-ce qui est incroyable ?
Ted : Oh. Ecoute, Marshall.
Robin : Ted a trouvé un penny dans le métro et il est vieux et c’est intéressant.
Marshall : Félicitations.
Ted : Okay, premièrement, c’est intéressant. Deuxièmement, on doit lui dire.
Robin : Non, pas du tout. Il commence tout juste à aller mieux, il sort avec Barney. Comment crois-tu qu’il se sentira en apprenant que Lily est passée à autre chose ?
Ted : Elle est passée à autre chose ?
Robin : Ca arrive. J’ai arrêté d’être amoureuse plus vite que ça avant, parfois, boum, sans le moindre avertissement. Un jour on est amoureux, le lendemain il est mort pour moi. Mais nous c’est super. Chéri.
Ted et Barney sont au McLaren’s.
Barney : Maintenant, passons en revue les règles de Barney pour s’accoupler sans sortir avec. Leçon deux, corollaire cinq.
Marshall : Faire qu’une belle femme se sente embarrassée et disgracieuse, et elle sera de la pâte à modeler entre tes mains.
Barney : Excellent. Tu as choisi ton entrée ?
Marshall : Tout à fait. Brune mignonne, 8 heures. 9 heures. 10…13. Elle va vers le bar.
Barney : Elle ? Vraiment ?
Marshall : Ouais.
Barney : Non, tu as raison. L’ambition est l’ennemie du succès. Okay. Fonce.
Marshall va voir une fille au bar.
Marshall : C’est quoi le problème, 4 yeux, vous êtes astigmate ou quelque chose comme ça ? Je suis désolé, j’essayais de vous désarmer avec l’humour, mais je sors tout juste d’une longue relation. Je n’ai aucune idée de ce que je fais. Je m’appelle Marshall.
Femme : Salut, Marshall. Amy. Ne vous en faites pas. Je suis passée par là. Attendez.
Barney : Bien rattrapé. Je crois que ça marche.
Marshall : Um, Amy. Voici mon ami, Barney. Barney, voici Amy.
Amy : Salut, Barney. Enchantée de faire votre connaissance.
Barney : Salut. Amy, vous aimez…la magie ?
A l’appartement…
Marshall : Je te déteste.
Barney : Je suis vraiment désolé. C’est une maladie. C’est moi la vraie victime, là.
Marshall : Deux fois. Deux fois de suite, tu as pris mon bonbon. C’était mon bonbon.
Barney : Je sais, mais ce soir…
Marshall : Non. Oublie ça. Tu es vraiment un c******.
Barney : Je croyais que tu allais me traiter d’enflure. D’accord, je suis désolé. Je te le revaudrai. Ce soir, on va aller à un bar de fac près de NY Université…Le Scorpion et le Crapaud. J’imagine que dans un environnement plus jeune, tu sembleras plus mûr, plus sophistiqué et, en tant qu’étudiant en droit de 3ème année, plus intelligent.
Marshall : Okay, mais pas de magie. (Barney a disparu) Comment t’as fait ça ?
Barney : Je pisse, crétin.
Dans un immeuble, dans les couloirs…
Ted (de 2030) : Le lendemain, Robin et moi sommes allés à la chasse à l’appartement avec Tante Lily.
Lily : Mais j’ai besoin de liberté pour poursuivre ma passion, qui était la peinture, mais maintenant je pense que c’est la musique ou les langues…peut-être les deux. Mon dieu ! La vie n’est pas merveilleuse ? C’est si génial de te voir, Ted. Je vais chercher la clé dans le coffre.
Robin : Quoi ?
Ted : Elle est malheureuse. Elle a réalisé qu’elle avait fait une énorme erreur. Marshall et elle seront à nouveau ensemble dans une semaine. J’adore ça !
Robin : Um, non. Tu veux juste que Lily soit malheureuse. La vérité c’est qu’elle est heureuse.
Ted : Crois-moi. Je connais Lily depuis 9 ans.
Robin : Crois-moi. Je suis une fille.
Ted : Ouais, mais tu es canadienne.
Robin : Pourquoi dois-tu toujours mettre ça sur le tapis ?
Ted : Tu es notre étrange voisine du Nord.
Robin : Tu mets toujours ça sur le tapis.
Ted : 5 dollars qu’elle veut encore de Marshall.
Robin : Ca marche.
Ted : 5 dollars américains.
Robin : Merde. Okay, alors comment va-t’on lui faire dire la vérité ?
Ted : La Tequilla. C’est son point faible. Trois verres, elle te dira la vérité sur n’importe quoi.
Lily : J’espère que c’est mon nouveau chez moi. Ouais, je vais prendre le premier appartement.
On frappe à la porte, Marshall va ouvrir.
Barney : Marshall Eriksen, costume !
Marshall : Pas moyen.
Barney : Ouais, t’es bien comme ça. Allons-y.
Marshall : Attends. Vide tes poches. Allez.
Barney : Allez, on va…
Marshall : Manches.
Barney : Il n’y a rien dans ma…
Marshall : Oh, c’est vrai ?
Barney : Allons-y.
Marshall : Derrière mon oreille.
Barney : Il n’y a rien derrière ton…
Marshall sort de l’appartement et suit Barney.
Dans un bar nommé « Le Scorpion et le Crapaud », Marshall parle avec une fille.
Femme : Ouais, je suis en prépa de droit. La charge de travail me tue, par contre.
Marshall : Oh, ne m’en parle pas. Je suis en 3ème année de droit à Columbia, alors…si la charge de travail te tue, je peux probablement obtenir une condamnation. Ouais.
Barney : Tu dois faire chimie en matière principale, parce que ce que je perçois entre nous, c’est heu… (La fille se lève et part) Phase de lesbianisme universitaire. La deuxième fille fait de même.
Femme : Ecoute, je dois y aller, mais ça serait génial de te revoir.
Marshall : Oui, tout à fait. Vraiment.
Femme : Eh bien, peut-être que je te reverrai ici un de ces jours.
Marshall : Probablement pas. Je ne viens jamais ici, alors…
Femme : Tu sais, j’ai un numéro de téléphone.
Marshall : Génial. Super.
Barney : Salut, moi c’est Barney.
Marshall : Oh, non.
Barney : Voulez-vous…donner votre numéro de téléphone à mon ami ?
Femme : Bien sûr.
Barney et Marshall sont dans un taxi.
Marshall : Whoo ! J’ai réussi ! J’ai le numéro de téléphone d’une fille. Oh, et son écriture est si belle, regarde. Oh, je vais l’emmener manger chinois et puis peut-être qu’on se promènera dans le parc. Ca sera si…quoi ?
Barney : Désolé, mon pote, je prend celui-ci aussi.
Marshall : Je vais te tuer !
Marshall lui saute dessus, l’attrapant par la gorge.
Ted, Lily et Robin sont dans l’appartement de cette dernière.
Lily : Et ensuite, j’ai découvert cet endroit, North Beach. La plus belle plage du monde ! Oh, je n’ai fait que parler de mon été. Comment allez-vous ? Et hey, comment va Marshall ?
Dans le taxi…
Marshall : Donne-moi la carte !
Barney : Je ne te donne aucune carte.
Marshall : Je jure… !
Barney : Tu ne vas pas… !
A l’appartement de Robin…
Ted : Super.
Lily : C’est si bon à entendre. Oh, attendez. Ca pourrait être pour l’appartement.
Ted : Okay, on a dépassé le stade où on fait dire la vérité à Lily et on est sur le point d’atteindre celui du 5 Mai 1998, et je ne compte plus tout nettoyer. Alors félicitations, tu gagnes. Elle est heureuse.
Lily : Je ne l’ai pas eu. Ce premier appartement, j’ai… j’ai attendu trop longtemps et…quelqu’un d’autre l’a eu.
Lily pleure.
Ted : Intéressant. Wow, Lily, tu…semble avoir une réaction un peu excessive pour la perte d’un appartement. Je me demande si c’est pas parce ça te rappelle autre chose que tu as perdu parce que tu n’arrivais pas à t’engager.
Robin : Non, Lily, tu pleures sur les moulures au plafond et les planchers en bois véritable. Il n’y a aucune signification plus profonde. C’est ça, Lily ? Arrête juste de pleurer et dis-lui.
Lily : L’appartement est une métaphore pour Marshall.
Robin donne 5 dollars à Ted.
Retour dans le taxi…
Barney : Arrête !
Marshall : Tu ne veux pas voir… comment je suis quand je suis en colère.
Barney : C’est ma carte ! Arrête ! Attends ! Si on ne peut pas régler ça en gentlemen, personne n’aura le numéro. Il le jette par la fenêtre.
Marshall : Non ! Arrêtez le taxi.
Barney : Qu… ? (Le chauffeur arrête le taxi et Marshall sort pour récupérer la carte) Non, attends. Allez. Marshall ! 81ème et 1ère, s’il vous plaît. Ah, elle a une belle écriture.
Ted, Robin et Lily sont dans un pub.
Ted (de 2030) : Le truc à propos de la gueule de bois, c’est que chacun à son propre remède spécial.
Serveur : Bonjour. Que puis-je vous servir ?
Lily : Chut ! Apportez-moi le plus dégoûtant, le plus gras sandwich que vous ayez. Et un milk-shake.
Serveur : Pour vous, monsieur ?
Ted : De la sauce.
Serveur : Vous voulez cette sauce sur quelque chose ?
Ted : Etonnez-moi.
Robin : Je vous prendrais en sauce si mon petit ami n’était pas assis juste là. Je déconne. Je suis bien.
Lily : Qu’est-ce qui te rend si gaie ?
Ted : Elle est encore bourrée d’hier soir.
Robin : Je ne pense pas. Whoo !
Ted : Ecoute, si tu veux tant que Marshall revienne, comment ça se fait que tu n’as même pas demandé de ses nouvelles en deux jours ?
Lily : Je mourais d’envie de demander. J’essayais juste de la jouer décontract. Mais en vrai…
Flash back
Robin et Lily visitent un appartement.
Robin : Mais c’est bon, je veux dire, le boulot est génial…
Lily : Allez, dis quelque chose à propos de Marshall. Où est Marshall ? Comment va Marshall ? Que fait Marshall en ce moment ? (Elles sont désormais avec Ted dans les couloirs d’un immeuble) Taisez-vous et parlez de Marshall. Taisez-vous et parlez de Marshall. Taisez-vous et parlez de Marshall. Marshall, Marshall, Marshall, Marshall… Il faut que je demande ! (Puis ils se retrouvent chez Robin) Et hey, comment va Marshall ?
Fin flash back
Lily : C’était un été vraiment terrible. Je voulais juste revenir ici pour le voir.
Ted : Mais je pensais que tu avais passé un super été.
Lily : Pas exactement.
Flash back
Lily peint.
Homme : Oh, mon dieu. C’est votre meilleur travail ? En toutes mes années d’enseignement, je n’ai jamais rien vu d’aussi inutile. Quant à dire que c’est…de l’art…Je ne peux rien vous apprendre.
Fin flash back
Ted : Et tous ces gens intéressants que tu as rencontrés dans le bus ?
Lily : Ouais, heu…
Flash back
Homme : Salut, je suis Mike. Je suis un moine bouddhiste/ écrivain voyageur. Je suis Paula. Je chante dans un groupe punk pour enfants. Je suis Dan. Je suis neurochirurgien. Vous êtes époustouflante, d’ailleurs.
Fin flash back
Lily : Je n’ai jamais établi aucun contact parce que j’étais trop embarrassée. J’ai tout fichu en l’air. Je n’ai pas de travail, pas d’endroit pour vivre. J’ai perdu l’amour de ma vie. Je sais que je n’ai aucun droit de demander ça, mais…tu crois que Marshall me reprendrait ?
Ted : En un clin d’œil. Si tu l’appelais, ouais, il te reprendrait à bras ouverts.
Lily : Wow. Alors peut-être que je devrais l’appeler.
Ted : Peut-être. Non ! C’est…Ow ! Attends. Ecoute, si tu retournes vers lui, je ne veux pas entendre le mot « peut-être ». « peut-être » ne peut pas faire partie de ton vocabulaire. Cette rupture l’a presque tué. Et il ne peut pas repasser par là. Alors à moins que tu n’en soies absolument certaine, reste loin de lui.
Robin : Ce type aime les pennies.
Marshall est au McLaren’s quand Barney arrive.
Barney : Salut, Marshall.
Marshall : Non, dégage. Je ne veux pas te parler.
Barney : Okay, je sais que ce que j’ai fait quelques nuits auparavant se trouve dans une zone d’ombre morale. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’elle t’aimait. Si les choses c’était passées à ta manière…vous seriez sortis quelques fois, je pense qu’elle aurait certainement couché avec toi.
Marshall : Il n’y a aucun conditionnel dans le sexe. Tu as raison. J’ai complètement…C’est juste que je ne suis pas bon à ça, Barney. Je suis bon pour être en couple, je suis bon pour être le copain de Lily. Etre célibataire…laisse tomber.
Barney : Allez, tu ne peux pas laisser tomber maintenant. Et si je te disais que tu pourrais revivre cette nuit avec exactement la même conversation, les mêmes blagues, sauf que cette fois tu l’as et pas moi.
Marshall : C’est pas possible.
Barney : Oh, mais si. Elle a…attends…on y arrive…ça y est presque…une jumelle identique. Oui !
Marshall : Une jumelle n’est pas la même personne.
Barney : Bien sûr que si. Que penses-tu qu’identique veuille dire ? « Ident »…même, « ique »…personne. Même personne. Hey, on pourrait faire un double rencard.
Marshall : Très bien. Mais tu dois me promettre que tu ne vas pas voler ma nouvelle jumelle et me laisser avec ta vieille jumelle usagée.
Barney : Usagée ? Elles sont un être humain, Marshall.
Ted (de 2030) : Alors oncle Marshall et oncle Barney ont eu un double rencard avec les jumelles.
Barney : Comment tu vas ?
Marshall : Super. Incroyable. C’est si drôle. Et je pense que moi et la fille on accroche vraiment.
Barney : C’est le cas. Absolument. Ecoute, tu vas devoir partir maintenant. Je viens de parler avec les jumelles et devine quoi, je rentre à la maison avec les deux. Ouais. Ca arrive.
Marshall : C’est impossible que tu me refasses ça.
Barney : Mais elles sont jumelles.
Marshall : Tu…tu disais qu’en étant célibataire je serais comme dans un magasin de bonbons.
Barney : Eh bien, ce n’est pas le cas, ce n’est pas comme dans un magasin de bonbons. C’est une terre en friche, post-apocalyptique. Je suis peut-être ton meilleur ami…
Marshall : En fait c’est Ted mon meilleur ami.
Barney : Mais dans ce monde, c’est chaque « hombre » pour lui. C’est ça être célibataire. Et après 9 ans en captivité, c’est la seule meilleure leçon que je puisse t’apprendre sur la survie dans le monde. Maintenant, si tu veux bien m’excuser…J’ai deux seins uniques et deux duplicata qui m’attendent. (Barney rejoint les jumelles et Marshall sort du bar) Oh, mauvaise nouvelle…Marshall a une intoxication alimentaire.
Jumelle 1 : Quoi ?
Jumelle 2 : Oh, non. C’est trop dommage. Je l’aimais vraiment bien.
Barney : Ouais, eh bien j’imagine qu’on est qu’un trio ce soir.
Dehors, Marshall tombe sur Lily.
Marshall : Lily, qu’est-ce que tu fais là ?
Lily : Oh, je me promenais. Je n’étais pas…Oh, tu veux dire New York ? Mon programme est terminé. C’était génial. Juste beaucoup d’amusement…C’était horrible. C’était la pire erreur que j’aie jamais f aite. Je suis tellement désolée, Marshall, et…hello.
Marshall : Lily, c’était le pire été de ma vie.
Lily : Je sais. C’était le pire été de ma vie.
Marshall : C’était la chose la plus difficile que j’aie jamais eue à traverser.
Lily : Pouvons-nous nous remettre ensemble s’il te plaît ?
Marshall : Toutes ces conneries que tu m’as dites, « on doit découvrir qui on est en dehors de nous, et on doit apprendre à faire des choses chacun de notre côté », ça m’a brisé le cœur. Il y a trois mois, tu m’as brisé le cœur.
Lily : Pouvons-nous nous remettre ensemble s’il te plaît ?
Marshall : Lily, tu avais raison. Toutes ces conneries étaient vraies. Alors, non. Non, on ne peut pas se remettre ensemble. On ne devrait pas. Du moins pas tout de suite.
Lily : Wow. Okay. Ouais. Eh bien…On va se revoir ?
Marshall : Ouais, ouais. Je crois. Je ne sais pas. Tout est vraiment nouveau pour moi. Je sors à peine d’une longue relation. J’aime bien tes cheveux.
Lily : Merci. J’ai pensé nouvelle ville, couleur différente… (Musique : #…Wide open road. It was love to us. It was all that we had… #) Et les pizzas là-bas, les pires pizzas du monde. Je suis si contente d’être revenue à New York. Ecoute, si il y a quoi que ce soit que je puisse faire pour ne serait-ce que commencer à me faire pardonner…
Marshall : En fait, il peut y avoir quelque chose que tu peux faire pour moi, mais tu ne dois jamais me demander pourquoi.
Barney est toujours au McLaren’s avec les jumelles.
Barney : Alors ensuite j’ai été promu assistant ménager…Manager…pourquoi est-ce que je continue à faire ça ? (Lily arrive à la table où est Barney) Lily ?
Lily : Tu m’as refilé une chlamydia, enflure.
Elle lui lance un verre à la figure et part.
Barney : Alors, où j’en étais ? Ah, oui, assistant ménager…Je l’ai refait. Je n’en reviens pas.
Lily revient.
Lily : Tu as refilé la chlamydia à ma sœur jumelle. Tu es répugnant !
Elle prend un deuxième verre et lui lance puis les jumelles partent.
Barney : Att…attendez, je connais la magie. Bien joué, Eriksen. Bien joué.
The end