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944 Magazine a publié un article de Jason Segel en décembre 2009.

Vous pouvez retrouvez l'ensemble de l'article, en anglais, sur le site du magazine.

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La Success story de Jason Segel a donné à chaque homme une raison de célébrer l’homme viril.

Ecrit par Scott T. Sterling. Photo par Steve Shaw

944 : Ta liste de participation à des films est importante mais beaucoup te connaissent avec Forgetting Sarah Marshall. Peter Brenne est une inspiration pour des scénaristes qui peuvent réellement relater des scènes hilarantes dans le film. Est-ce que c’est l’accumulation d’expériences personnelles ou juste une bonne idée ?

Jason Segel : Oh, merci mec. Tout a vraiment commencé quand Judd (Apatow) a dit une chose très particulère sur moi. Il a dit « Ecoute, tu es une sorte de mec bizarre. Si tu veux être le leader, tu va écrire ton propre film. Personne ne te fera un rôle, alors fais-le toi-même." C’est resté dans ma tête, tu vois ? Quand j’ai finalement eu la motivation pour être ce mec, ma seule option était d’écrire un film. Alors je l’ai fait.

[…]

944 : Est-ce que Apatow est toujours ton mentor pour toi ?

Jason Segel : Il le sera pour le reste de ma carrière.

 

944 : Parle-nous un peu de ton travail sur le nouveau Muppet Movie. C’est quelque chose d’important pour toi qui est fan du travail de Jim Hensen.

Jason Segel : C’est un rêve qui devient réalité. Tu as des rêves d’adultes, comme gagner un oscar. Et tu as des rêves d’enfant, comme faire un film The Muppet. Ces rêves sont plus profondément enfouis. Etre ma première influence comique, Kermit, à moi, être l’original Tom Hanks. C’est ce que je voulais être.

 

944 : J’ai entendu des choses sur Jason Segel, une rock star, qui a ouvert le concert de groupes comme Maroon 5. Quelque chose que tu aimes ?

Jason Segel : Je me suis juste retrouvé en costume devant un clavier pour chanter cinq chansons.  Je le referai avec Maroon 5 pour le Nouvel An au Palms Casino Resort. J’essaie de faire des choses intéressantes, tu vois ?

 

944 : Dirais-tu que tu es un accro au travail ? Ou c’est juste ton naturel ?

Jason Segel : Oui, après Freaks and Geeks, jai eu un moment où j’ai senti que quelque chose allait arriver. Peut-être parce que j’étais jeune et naif. Mais alors ce n’est pas du tout arrivé. Maintenant, quand je ressens la même chose qu’à l’époque, je fais tout pour m’assurer que cela ne reparte pas.

 

944 : Qu’est ce que cela te fait de voir How I Met Your Mother s’approcher du 100è épisode… un accomplissement dont tu peux être fier ?

Jason Segel : D’une certaine façon, la série est la première dans laquelle je suis qui a vraiment du succès. Je suis super fier de Freaks and Geeks, évidemment. C’est toujours, dans mon esprit, la meilleure chose que j’ai jamais faite. Mais ce n’est qu’avec How I Met your Mother que j’ai vu ce que cela faisait de faire partie d’un vrai succès. J’ai vraiment eu de la chance depuis avec Knocked up (En cloque, mode d’emploi), Forgetting Sarah Marshall et I Love You, Man. Mais je ne crois pas  que j’ai été impliqué dans quelque chose, dans ma carrière ou autre, qui a duré aussi longtemps qu’How I Met Your Mother. Je n’ai jamais eu une relation ou été à l’école aussi longtemps.

 

944 : Un des plus mémorables aspects de Forgetting Sarah Marshall est Russel Brand comme Aldous Snow, qui est l’un des meilleurs personnages de film de ces dernières années.

Jason Segel : C’est Russel. Le personne était écrit pour un auteur anglais, comme Hugh Grant. Russel a passé une audition et il était si charismatique et bon. C’était un choix différent… […]

 

944 : Avec l’édition de charité de 944, vous apportez un soutien inflexible aux hommes qui aident les femmes de la fondation Noreen Fraser. Comment avez-vous choisi ça ?

Jason Segel : Ce sont des hommes qui encouragent les femmes qui ont un cancer, j’ai trouvé que c’était très intéressant. J’ai appris aussi que Jack Black était impliqué, et c’est un ami. Il n’y avait qu’un pas…

 

944 : Maintenant, tu travailles sur un projet de rêve avec The Muppets, qu’est ce que Jason Segel veut accomplir d’autre ?

Jason Segel : Je ne sais pas. En fait, ce n’est pas vrai. Autant j’aime faire des comédies, autant j’aimerais vraiment faire quelque chose d’équivalent à Beinh There. Ou Forrest Gump. J’aimerais faire, une grosse, une dramatique comédie qui touche tout le monde – un peu plus de sentiments pour tout le monde.

 

Traduit par Stephe